Réalisateur : Romolo Guerrieri
Durée :89mn
Genre :Giallo
Date de sortie : 1971
Avec :Jean Sorel, Lucia Bosé and Ewa Aulin...
Traducteur : Ojo d'oro
Résumé : Un soir, en rentrant chez lui, un architecte nommé Giovanni est abattu à coups de pistolets par un mystérieux inconnu dans le parking de son immeuble. Entre les détonations fatales de son agresseur, la mémoire de Giovanni se remémore le fil de son histoire et tente, de même que le spectateur, de comprendre pourquoi la vie de Giovanni va s’arrêter d’un instant à l’autre...
Le commentaire avisé de Tinterora: Jean Sorel ! Romolo Guerrieri ! La dream team qui, en 1968, a notablement proposé en salles L’adorable corps de Deborah dont le succès, important, a permis au giallo de se développer pour permettre, notablement, l’explosion artistiques et commerciale des premiers Dario Argento.
Un producteur malin a donc parié sur une réunion de cette équipe sur un film dont le sujet, intéressant à première vue, demeure en plus tiré d’un roman de Liberro Bigarreti. En un sens, La controfigura demeure réellement un giallo, autant en salles…qu’en kiosques !
Pourtant, malgré ce sujet, la présence de Jean Sorel, assortie à l’écran de l’excellente Ewa Aullin (sa prestation dans la première réalisation de Joe D’Amato, La mort sourit à l’assassin, demeure de premier ordre), Giacomo Rossi Stuart (assez sous estimé malgré le fait que ses apparitions étaient toujours de qualité) ou encore Marilu Tolo et Lucia Bosé, force est de constater que La controfigura manque de rythme, de punch.
La faute en revient d’une part au budget, que l’on sent ici assez anémique, mais également à la réalisation de Romolo Guerrieri, très ampoulée par moment, surtout quand il retranscrit de manière terriblement pompeuse le bonheur de ses personnages (à l’instar de L’adorable corps de Deborah où une séquence du même type demeure un sommet de risibilité).
Pourtant, découvrir enfin La controfigura demeure une opportunité rare. Pourquoi ? Parce qu’il s’agit là d’une micro production, voire le nombre très modeste de noms figurants au générique, qui a connu une diffusion en salles très restreinte et qui n’a guère été que rediffusé en Italie via de petites, minuscules même, chaines de télévision locales (dont la fonction principale demeure la diffusion incessantes de publicités commerciales). Il est donc particulièrement rare de pouvoir regarder ce film et nous ne pouvons que remercier Rarelust, pour son travail d’archivage, Ojo d’oro, pour avoir traduit ce film, ainsi que Le passant pour avoir souhaité vous le présenter !Toutefois, si La controfigura avait été réalisée par Aldo Lado, avec notamment un plus gros budget, force est de regretter que l’on aurait peut-être connu un sommet du giallo ! Mais qui sait, il vous plaira peut-être ?
Merci à Ojo d'Oro pour son travail de traduction.
Les sous-titres d'Ojo d'oro : https://www.sub-titles.net/subtitles/fr-controfigura-la-1971/j1w_
Film disponible à la vente en VO sans SRT français : Ici
Fichier source : Ici
Décalez vos sous-titres avec :Move Your Sub Online
Durée :89mn
Genre :Giallo
Date de sortie : 1971
Avec :Jean Sorel, Lucia Bosé and Ewa Aulin...
Traducteur : Ojo d'oro
Résumé : Un soir, en rentrant chez lui, un architecte nommé Giovanni est abattu à coups de pistolets par un mystérieux inconnu dans le parking de son immeuble. Entre les détonations fatales de son agresseur, la mémoire de Giovanni se remémore le fil de son histoire et tente, de même que le spectateur, de comprendre pourquoi la vie de Giovanni va s’arrêter d’un instant à l’autre...
Le commentaire avisé de Tinterora: Jean Sorel ! Romolo Guerrieri ! La dream team qui, en 1968, a notablement proposé en salles L’adorable corps de Deborah dont le succès, important, a permis au giallo de se développer pour permettre, notablement, l’explosion artistiques et commerciale des premiers Dario Argento.
Un producteur malin a donc parié sur une réunion de cette équipe sur un film dont le sujet, intéressant à première vue, demeure en plus tiré d’un roman de Liberro Bigarreti. En un sens, La controfigura demeure réellement un giallo, autant en salles…qu’en kiosques !
Pourtant, malgré ce sujet, la présence de Jean Sorel, assortie à l’écran de l’excellente Ewa Aullin (sa prestation dans la première réalisation de Joe D’Amato, La mort sourit à l’assassin, demeure de premier ordre), Giacomo Rossi Stuart (assez sous estimé malgré le fait que ses apparitions étaient toujours de qualité) ou encore Marilu Tolo et Lucia Bosé, force est de constater que La controfigura manque de rythme, de punch.
La faute en revient d’une part au budget, que l’on sent ici assez anémique, mais également à la réalisation de Romolo Guerrieri, très ampoulée par moment, surtout quand il retranscrit de manière terriblement pompeuse le bonheur de ses personnages (à l’instar de L’adorable corps de Deborah où une séquence du même type demeure un sommet de risibilité).
Pourtant, découvrir enfin La controfigura demeure une opportunité rare. Pourquoi ? Parce qu’il s’agit là d’une micro production, voire le nombre très modeste de noms figurants au générique, qui a connu une diffusion en salles très restreinte et qui n’a guère été que rediffusé en Italie via de petites, minuscules même, chaines de télévision locales (dont la fonction principale demeure la diffusion incessantes de publicités commerciales). Il est donc particulièrement rare de pouvoir regarder ce film et nous ne pouvons que remercier Rarelust, pour son travail d’archivage, Ojo d’oro, pour avoir traduit ce film, ainsi que Le passant pour avoir souhaité vous le présenter !Toutefois, si La controfigura avait été réalisée par Aldo Lado, avec notamment un plus gros budget, force est de regretter que l’on aurait peut-être connu un sommet du giallo ! Mais qui sait, il vous plaira peut-être ?
Merci à Ojo d'Oro pour son travail de traduction.
Les sous-titres d'Ojo d'oro : https://www.sub-titles.net/subtitles/fr-controfigura-la-1971/j1w_
Film disponible à la vente en VO sans SRT français : Ici
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